Harfouche: l’Iran fait pression sur le Liban en faveur de « la répression et la pendaison des femmes »Vous

Paris – almasry

Partant du fait que le Liban n’est pas l’Iran, Omar Harfouch, le fondateur de l’initiative « Troisième République du Liban », a écrit sur sa page Facebook : « L’ambassadeur d’Iran n’est pas autorisé à faire pression sur le ministre souverain des Affaires étrangères du Liban et à le forcer à voter pour L’Iran aux Nations Unies dans la forme et dans le fond. »

Harfouche a ajouté : « Dans la forme, la position extérieure du Liban est souveraine, et aucun ambassadeur basé sur son territoire n’a le droit d’intervenir dans ses décisions internationales. Quant au contenu, le Liban, patrie de la liberté individuelle, ne peut pas voter en faveur de la répression et de la pendaison des femmes si elles décident de lever le voile sur sa tête, d’autant plus qu’il n’y a pas de contrainte en Religion ! ».

Harfouche a expliqué que cette nouvelle était tirée du journal Al-Akhbar Al-Youm :
« Des responsables iraniens ont contacté des responsables de l’État libanais, et l’ambassadeur d’Iran à Beyrouth, Mojtaba Amani, a contacté le président du Parlement, Nabih Berri, qui l’a assuré qu’il interviendrait auprès du Premier ministre pour corriger ce cap. Des contacts intensifs ont également eu lieu entre le Hezbollah et le Premier ministre, avec un suivi étroit avec le ministre Le ministère des Affaires étrangères, d’autant plus qu’il y a eu de mauvaises expériences dans le passé avec ce dernier dans sa tentative d’éluder ses responsabilités en présentant des arguments et des justifications sur la mauvaise coordination entre le ministère et les membres du Mission du Liban auprès du Conseil de sécurité de Jean Murad et l’instruisant de revenir à l’engagement envers la position du Liban comme les années précédentes, c’est-à-dire de refuser de condamner.
(Source d’information sur la pression iranienne : journal Al-Akhbar)